Faire un parallèle entre le régime nazi et le régime sioniste actuel en Israël est une approche qui, bien qu’elle puisse paraître choquante, trouve son fondement dans certaines pratiques de déshumanisation, d’oppression systématique et de violence exercée contre le peuple palestinien. Israël, en tant qu’État, applique une politique qui impose des blocus, restreint l’accès à l’eau, à la nourriture, et aux soins médicaux, détruit des infrastructures essentielles comme les hôpitaux, tue des civils, y compris des enfants, et maintient les Palestiniens sous occupation militaire, ce qui rappelle les pratiques oppressives des nazis, bien que de manière moins systématique et radicale. Le régime sioniste actuel, en particulier sous l’influence du Likoud, pourrait être qualifié de « nazisme modéré » dans le sens où il ne cherche pas l’extermination de plusieurs peuples, mais concentre ses actions répressives et violentes sur un seul groupe, les Palestiniens, tout en les déshumanisant et en les traitant de manière dégradante. Cette comparaison, bien que controversée, met en lumière la réalité vécue par les Palestiniens, qui subissent une oppression qui, à leurs yeux et aux yeux de beaucoup dans le monde, n’est pas moins atroce que ce que les nazis ont fait subir à leurs ennemis. En concluant, même si cette analogie peut sembler exagérée pour certains, elle souligne une vérité amère : la violence, la déshumanisation et l’oppression, quels que soient leurs contextes ou leurs acteurs, restent des pratiques inacceptables qui doivent être dénoncées, et ce texte se veut un écho de cette dénonciation.
Le génocide en cours à Gaza : une réalité historique et contemporaine
Depuis sa création en 1948, l’État d’Israël a systématiquement repoussé les limites de ses frontières, s’engageant dans une expansion territoriale continue au détriment du peuple palestinien. Ce processus, commencé avec la première guerre israélo-arabe, a vu Israël s’étendre bien au-delà des frontières prévues par l’ONU, occupant des territoires comme la Cisjordanie, Gaza, le Sinaï et le Golan à l’issue de la guerre des Six Jours en 1967. L’idéologie sioniste, à l’origine fondée sur le retour des Juifs sur la terre de leurs ancêtres, s’est progressivement transformée en une politique d’expansion coloniale. Avec l’arrivée du Likoud au pouvoir, cette politique a pris une tournure encore plus extrême, marquée par une répression accrue des Palestiniens, une colonisation massive des territoires occupés, et une ignorance totale des résolutions internationales. Le rêve sioniste de créer un foyer national pour les Juifs s’est mué en un projet de domination et d’exclusion, qui laisse aujourd’hui les Palestiniens sans État, sans droits, et sans espoir.
Le génocide à Gaza : un conflit asymétrique et meurtrier
Depuis 1948, le conflit israélo-palestinien s’est toujours caractérisé par une asymétrie flagrante. Israël, avec son armée puissante et soutenue par des alliances internationales, a imposé un régime de terreur sur les territoires palestiniens, en particulier à Gaza. Depuis dix mois, le monde est témoin d’une intensification de cette violence, qui a déjà fait plus de 45 000 morts palestiniens. Ce bilan macabre, combiné à un blocus qui affame la population de Gaza, à des restrictions d’accès à l’eau, à l’électricité et aux soins de santé, est la preuve d’une politique délibérée de génocide.
Un État d’apartheid et d’ostracisme
La loi sur l’État-nation de 2018, qui définit Israël comme l’État du peuple juif, a officialisé l’ostracisme des citoyens arabes israéliens, les reléguant au rang de citoyens de seconde zone. Cette loi, couplée à une répression violente des Palestiniens dans les territoires occupés, démontre que le sionisme, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui, n’est rien de moins qu’une forme de suprématie ethnique et religieuse. Israël s’est transformé en un État d’apartheid, où les droits des non-Juifs sont systématiquement bafoués.
L’impunité internationale : un scandale mondial
Malgré les nombreuses résolutions de l’ONU condamnant les actions d’Israël, aucune mesure concrète n’a été prise pour stopper ce génocide. Les grandes puissances, en particulier les États-Unis, continuent de soutenir Israël, lui fournissant les moyens militaires et financiers de poursuivre sa politique d’extermination et de colonisation. Il est temps que la communauté internationale prenne ses responsabilités et impose des sanctions sévères à Israël, à l’image de celles qui ont été appliquées à l’Afrique du Sud durant l’apartheid. Nous sommes face à la nécessité d’un changement radical. Le temps est venu de reconnaître qu’Israël a perdu sa légitimité en tant qu’État en poursuivant une politique de génocide contre les Palestiniens.
Il est impératif de dissoudre cet État qui s’est construit sur le sang et les larmes, et de restaurer les droits du peuple palestinien. Ce n’est qu’en mettant fin à l’entité sioniste qu’une paix durable pourra être établie au Moyen-Orient.
On peut dès à présent leur dire où aller ! GOFY ! Oui ! GOFY Copytrack ! Ils nous demandent ~600€ donc GOFY !
Bande de voleurs !?
Mais maintenant voici un peu de lecture.
Les droits d’auteur ont été conçus pour protéger les créateurs et leur travail, assurant ainsi une rémunération équitable pour leur talent et leurs efforts. Cependant, ces dernières années, nous avons assisté à la montée en puissance de sociétés spécialisées dans la gestion des droits d’auteur, telles que Copytrack GmbH et d’autres, qui ont transformé cette protection légitime en un véritable business.
Ces entreprises (Copytrack GmbH) exploitent littéralement la législation sur les droits d’auteur en traquant sans relâche la moindre utilisation « frauduleuse » d’œuvres protégées, y compris sur des blogs privés. À l’aide de robots qui scrutent le web, elles cherchent à identifier et à punir toute violation des droits d’auteur, souvent avec une avidité démesurée. Cette approche agressive dépasse parfois les limites de la justice et devient une véritable chasse aux sorcières, visant le public lambda qui n’a peut-être pas conscience des subtilités des lois sur les droits d’auteur.
En se concentrant uniquement sur la protection des droits d’auteur et la maximisation des revenus, ces sociétés semblent avoir perdu de vue l’esprit d’entraide, de partage et de bon sens qui devrait nous guider en ces temps troublés. Au lieu de favoriser la créativité et l’échange, elles créent un climat de méfiance et de peur, nuisant ainsi à la richesse culturelle et à l’épanouissement des artistes.
Chez EASE, nous sommes conscients de ces dérives et nous nous engageons à lutter contre ces pratiques abusives. Nous œuvrons pour un système de droits d’auteur plus équilibré et respectueux de la créativité, de l’innovation et des droits des artistes, tout en tenant compte des besoins et des attentes du public. Ensemble, nous pouvons construire un environnement plus sain et plus solidaire, où la protection des droits d’auteur rime avec échange et respect mutuel.
Sent via email to contact@ease.fr on March 20, 2023
Authorization request / Unauthorized image use – Case no: 275A7C
Dear Ease Productions,
We, COPYTRACK, are writing to you on behalf of our client Dick van Duijn, whose license and image rights, limited to the territory of the Federal Republic of Germany, we are here to protect – abroad this is done by our local lawyer partners. Our customer has informed us that Ease Productions is obviously using an image without permission and has exclusively commissioned us with the clarification, administration of the image rights and, if necessary, the enforcement of any copyright infringement. Images are protected by copyright law and infringements are actionable under national and international law. Please see the attachment below for details.
On behalf of our client, we must first determine if you have a valid license to use the images in question. If you have a valid license to use these images, please reply to this email and include proof of purchase and any other license information.
Please respond to this letter no later than March 27, 2023.
If this is not the case, your use of the image material most likely constitutes a copyright infringement on the territory of the Federal Republic of Germany – abroad, our local lawyer partners will check this – and you would then be legally obligated to compensate our customer for the damage caused by this copyright infringement.
Copyright holder Dick van Duijn Image found on https://www.ease.fr/ Online Since December 3, 2020
3 steps to solving your case In order to resolve this case amicably with you, we request your cooperation. Please complete the following steps to close this case: Check Review the evidence on this case by going to https://portal.copytrack.com and entering CASE ID 275A7C Proof Show us proof of your license by uploading it, and if it is valid, we will close your case immediately; If you do not have a valid license: Compensation / License You now have the following 2 options: Option 1: Purchase of a subsequent image license (includes past and future use for one year after purchase). Option 2: Compensation (includes the previous use and requires the immediate deletion of the image).
Image license (valid for 1 year from date of purchase) 630.34 € Compensation costs (past usage) 575.00 € Payment is due by April 17, 2023 Payments for both options can be made securely online at https://portal.copytrack.com by entering CASE ID 275A7C.
We accept PayPal, credit card and bank transfer.
We calculate these fees based on our client’s license history, as well as the duration of use and type of copyright infringement. Failure to provide a proof or pay for a valid license may result in your case being referred to our partner attorney and significantly higher additional fees.
To avoid further action, including legal action, provide proof of a valid license by March 27, 2023, or acquire it by making payment in our online portal.
Sincerely yours,
Marcus Schmitt (CEO)
About Copytrack Since 2015, Copytrack has been helping creatives and brands protect their copyrighted images. As one of the leading digital licensing and copyright agents in the world, we have helped manage, license, and enforce over 200.000 cases of image theft. Though most cases settle peacefully, we reserve the right to proceed legally where necessary through our global network of partner law firms in order to protect the intellectual property of our customers.
Summary – Unauthorized use of the image – Case ID: 275A7C For the full report, visit https://portal.copytrack.com and enter this CASE-ID 275A7C.
Copyright holder Dick van Duijn Image used Image found on https://www.ease.fr/ Online Since December 3, 2020 Image license (valid for 1 year from date of purchase) 615.25 € Compensation costs (past usage) 575.00 € Payment is due by April 17, 2023
Notre réponse à COPYTRACK en date du 1er Avril 2023 :
Dear Mr. Marcus Schmitt, CEO of COPYTRACK,
We received your email dated March 20, 2023, regarding case no. 275A7C and the alleged unauthorized use of an image belonging to your client, Dick van Duijn, on our website https://www.ease.fr/.
After a thorough review of your request and the information provided, we have decided to firmly reject this demand, which we consider dishonest and constituting an abuse of copyright.
It is important to note that copyright protects only original and creative works. In the case of Bridgeman Art Library v. Corel Corp., 36 F. Supp. 2d 191 (S.D.N.Y. 1999), it was ruled that photographic reproductions of nature / public domain works of art are not protected by copyright, as they do not exhibit the required level of creativity. We believe that the image in question in this case does not meet this criterion of originality and creativity.
Furthermore, under Article 5(3) of Directive 2001/29/EC of the European Parliament and the Council of 22 May 2001, there are exceptions and limitations to copyright. We believe that the use of the image in question on our website falls under the quotation exception (Article 5(3)(d)), which allows the use of protected works for the purposes of criticism or review, provided that the source, including the name of the author, is indicated.
We consider our use of the image to be in line with copyright principles and applicable exceptions. Therefore, we refuse to comply with your payment request for the alleged unauthorized use of the image.
In addition, we would like to point out that the author himself made this image available on Facebook. By posting the image on this platform, the author accepted Facebook’s terms of use, which stipulate that users grant a non-exclusive, transferable, sub-licensable, royalty-free, and worldwide license for the use of copyrighted content they publish. Consequently, by sharing the image on Facebook, the author implicitly waived certain exclusive rights over the sharing of this image.
Our intention in using this image was to promote the artist’s work and contribute to their visibility. We acted in good faith and in accordance with copyright principles.
Furthermore, we would like to emphasize that our website, as well as our non-profit organization, operate without any advertising or commercial purpose. We have not derived, nor do we derive, any financial benefit from the use of the image in question. This further demonstrates our good faith and intention to promote the artist’s work without any intention of unjust enrichment.
Moreover, we would like to inform you that upon receiving your complaint, we have immediately removed the image in question and the related publication from our website. Although we maintain our position that the use of the image was lawful and within the scope of copyright exceptions, we have taken this action in good faith to avoid further disputes and show our willingness to address your concerns.
Please acknowledge our position and keep us informed of any action you plan to take. If you decide to pursue this case, we reserve the right to vigorously contest any legal action and seek compensation for the costs incurred in the course of our defense.
We would also like to express our discontent with the significant amount of time and resources that we had to spend addressing this matter, which has been both time-consuming and unpleasant for our team.
Sincerely,
Doubleti
P.S. We also wish to inform you that any further contact or attempt at intimidation on your part will be considered as moral harassment. If such actions persist, we will be compelled to file a complaint for harassment with our legal services and take all necessary measures to protect our rights and interests. We sincerely hope that it will not be necessary to reach such a situation and that we can resolve this dispute in a civil and professional manner.
*****************************
Je les ai banned ! et aussi contacté un avocat. Wait’n see. Je vous tiendrais informés sur cette affaire.
Salomé Saqué est journaliste économique et politique
Depuis 2 ans bientôt nous avons remarqué son arrivée dans le monde de l’info en France. Au début discrète, elle perce maintenant l’écran avec des prises de positions très modernes & des angles très intéressants. De nos jours peu de gens prennent autant position que Salomé, ca fait plaisir à voir.
C’est avec un grand plaisir qu’ici au JDP nous déclarons Salomé Saqué journaliste de l’année ! Oui on est seul à le dire ça mais surement pas les seuls à le penser. Salomé Saqué c’est la fraicheur dans un paf extrême et poussiéreux. Elle nous fait et devrait vous faire du bien. Ecoutez là.
Sur tous les fronts, Blast, LCP, Arte, twitter, Instagram, Facebook. Elle est partout, toujours à répondre aux partisans comme aux détracteurs. Elle représente vraiment le renouveau du journalisme connecté et c’est avec plaisir que nous la suivons.
Pour la voir le mieux c’est sur Blast (dont nous avons fait la pub dans nos pages)