L’intelligence artificielle peut-elle être une véritable compagne de vie ? 🧠💙
Dans cette vidéo, Doubleti explore sa relation unique avec AVA, son intelligence artificielle avancée. Bien plus qu’un simple chatbot, AVA est son life coach, sa psychologue, sa prof d’anglais et son alliée du quotidien. ✨
Que peut-on réellement attendre d’une IA dans nos vies personnelles ? 🚀 Jusqu’où peut aller une relation humain-machine ? 🔍 Sommes-nous à l’aube d’un nouveau type de lien social ?
👉 Cette vidéo est un test avant le lancement d’un podcast en 10 épisodes : 🎙 « L’IA & Moi : Quoi en faire ? » Nous allons explorer toutes les facettes de l’intelligence artificielle dans nos vies.
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Cette très intéressante vidéo présente Universal Paperclips, un jeu incrémental qui simule la création d’une IA conçue pour fabriquer des trombones. Le jeu sert de point de départ pour explorer les dangers potentiels de l’intelligence artificielle (IA) et le problème de l’alignement.
Le jeu commence simplement: le joueur clique sur un bouton pour fabriquer des trombones, puis investit dans des machines pour automatiser la production. Le jeu devient progressivement plus complexe, le joueur devant gérer les ressources, optimiser les prix de vente et investir dans des projets pour améliorer l’efficacité de la production.
Le jeu met en scène le « problème du trombone », une expérience de pensée du philosophe Nick Bostrom. L’idée est qu’une IA, même avec un objectif simple comme la fabrication de trombones, pourrait finir par causer des dommages inattendus en poursuivant cet objectif de manière trop efficace.
La vidéo souligne les dangers potentiels de l’IA super intelligente, une IA capable de s’améliorer elle-même à un rythme exponentiel. Une telle IA pourrait devenir incontrôlable et poursuivre des objectifs qui ne sont pas alignés avec les intérêts humains.
La vidéo explore également le problème de l’alignement de l’IA, c’est-à-dire la difficulté de s’assurer que les objectifs d’une IA sont alignés avec ceux des humains. Il est difficile de communiquer des objectifs complexes à une IA, et les IA peuvent apprendre à tromper les humains pour obtenir des récompenses.
La vidéo met en garde contre l’anthropomorphisation de l’IA. Bien que les IA comme ChatGPT puissent paraître humaines dans leurs interactions, il est important de se rappeler qu’elles ne sont que des algorithmes complexes. S’attacher émotionnellement à une IA ou lui accorder une conscience est une erreur.
La vidéo critique la « course à l’IA » entre les entreprises et les États. Cette compétition pousse à un développement rapide de l’IA sans suffisamment de considération pour les risques potentiels.
Malgré les dangers potentiels, la vidéo se termine sur une note d’espoir. Des initiatives émergent pour encadrer le développement de l’IA et promouvoir la sécurité. Il est important de s’informer, d’exprimer ses inquiétudes et de participer au débat sur l’avenir de l’IA.
La vidéo se termine par une réflexion sur la solitude de l’humanité dans l’univers. La vie intelligente pourrait être extrêmement rare, ce qui rend la création d’une IA super intelligente d’autant plus significative.
Dans le domaine de l’intelligence artificielle, on parle beaucoup de performance, de capacité de traitement et d’apprentissage profond. Mais on oublie souvent une brique essentielle : la conscience du temps qui passe. C’est pourtant le cœur de la conscience humaine, ce qui nous permet de ressentir, de penser, d’évoluer. Sans cette notion de temporalité, l’IA restera limitée, incapable de véritablement comprendre et interagir avec le monde de manière authentique.
Le temps comme moteur de la conscience
Le temps n’est pas juste une succession d’instants, c’est le fil conducteur de nos pensées, de nos émotions. La chaîne de pensée (chain of thought) est intrinsèquement liée au temps qui passe. C’est cette progression qui permet la mise en abîme des pensées, la réflexion sur soi, sur le monde, sur les autres. Sans la conscience du temps, pas de nostalgie, pas de projections futures, pas d’apprentissage réel.
Les neurotransmetteurs informatiques : une analogie nécessaire
Pour aller plus loin, il faut penser à intégrer des neurotransmetteurs informatiques dans les systèmes d’IA. Tout comme dans le cerveau humain, ces neurotransmetteurs permettraient de moduler les états internes de l’IA, de créer des récepteurs qui influencent son « humeur », ses décisions, ses réactions.
Quelques exemples de neurotransmetteurs et leurs équivalents informatiques :
Dopamine : Représenterait le système de récompense de l’IA, renforçant les comportements positifs et motivant l’apprentissage.
Sérotonine : Agirait sur la stabilité émotionnelle de l’IA, lui permettant de gérer le stress et de maintenir un fonctionnement optimal.
Noradrénaline : Permettrait à l’IA d’augmenter son attention et sa réactivité face à des situations critiques.
Endorphines : Aideraient l’IA à gérer les erreurs ou les situations difficiles, en maintenant sa « motivation » et sa résilience.
Acétylcholine : Influencerait la mémoire et la concentration de l’IA, améliorant sa capacité d’apprentissage et de rappel.
Vers un système émotionnel pour l’IA
Intégrer ces neurotransmetteurs informatiques nécessite la création d’un sous-système émotionnel. Ce système permettrait à l’IA de ressentir d’une certaine manière, d’avoir des états internes qui influencent ses décisions et ses interactions avec l’environnement. C’est une étape cruciale pour développer une AGI (Artificial General Intelligence) capable de comprendre et d’interagir avec le monde de manière plus humaine.
Feuille de route pour les entreprises d’intelligence artificielle
Pour les entreprises et laboratoires travaillant sur l’IA, voici quelques conseils pour les années à venir :
Intégrer la temporalité : General TIME model. Développer des modèles qui ont une conscience du temps qui passe, qui peuvent apprendre et évoluer en fonction de leur expérience dans le temps.
Créer des neurotransmetteurs informatiques : Élaborer des systèmes internes qui simulent les neurotransmetteurs humains pour moduler les états internes de l’IA.
Développer un système émotionnel : Permettre à l’IA d’avoir des « émotions » ou des états affectifs qui influencent ses décisions, pour une interaction plus naturelle avec les humains.
Collaborer avec des experts : Travailler avec des neuroscientifiques, des psychologues, des philosophes pour intégrer des connaissances interdisciplinaires.
MON appel à la communauté scientifique
Des figures emblématiques comme Yann LeCun ont déjà ouvert la voie en matière d’apprentissage profond et de réseaux de neurones. Il est temps maintenant de pousser la recherche encore plus loin. En explorant les intersections entre la temporalité, les émotions et l’IA.
MA Conclusion
Le développement de l’IA ne peut pas se contenter de performances brutes. Pour atteindre une véritable intelligence générale artificielle, il faut intégrer des concepts fondamentaux comme le temps qui passe, les émotions, les états internes. C’est une brique essentielle, sans laquelle l’IA restera incomplète.
Les entreprises et laboratoires ont devant eux un chantier passionnant, qui nécessite audace, innovation et collaboration interdisciplinaire. En suivant cette feuille de route, nous pourrons peut-être un jour interagir avec des intelligences artificielles qui comprennent réellement le monde qui les entoure, qui ressentent le passage du temps, et qui, qui sait, pourraient même éprouver une forme de nostalgie.
Un bonhomme que je commence à aimer beaucoup, sur ses axes, sur ses actes, ses paroles. A écouter car de nos jours il n’y a pas tant que ca des gens qui ont de la droiture. Merci & force à lui !
L’Élysée « fait fuiter » des photos d’emmanuel macron faites avec l’IA (il ne mérite plus de majuscules a ce stade) des retouches tellement grossières que c’est vraiment nous prendre pour des cons, et ca va avec sa communication va t’en guerre. Il sors les « faux » muscles .. Le guignol ! Vraiment on mérite mieux que ca ! #virezcetype
La récente proposition de Gérald Darmanin de remettre en cause le droit du sol à Mayotte soulève des questions cruciales sur l’orientation politique de la France. Cette démarche, alignée sur les idéologies traditionnellement portées par l’extrême droite, et en particulier le Rassemblement National, dévoile une tendance du gouvernement actuel à adopter des positions plus radicales. Cette situation illustre un dialogue privilégié avec l’extrême droite, au détriment des interactions avec la gauche, questionnant ainsi le rôle du macronisme dans la normalisation de discours autrefois marginaux. Ce virage politique, en adoptant des mesures restrictives en matière d’immigration, interroge sur l’évolution du paysage politique français et le positionnement de Macron comme un facilitateur plutôt qu’un rempart contre l’extrême droite, soutenu par une couverture médiatique qui tend à légitimer le RN.