
Vers une Révolution Démocratique
Je souhaite aborder le déni démocratique que Macron inflige à nous, les Français, qui avons voté lors des dernières élections législatives. Ce déni s’ajoute à la mise en place de processus honteux, comme ceux ayant conduit aux attentats au Liban, orchestrés via des bippers et des talkies-walkies. Ces mécanismes sont profondément malsains, vicieux même, surtout venant d’un État comme Israël. Ce n’est rien de moins que choquant et révoltant.
Quant au nouveau gouvernement dirigé par Barnier, il est au bord de l’implosion. Le Rassemblement National contrôle les rênes et ce pouvoir n’a aucune légitimité. La rentrée est morose, le froid s’installe, et les coûts de l’électricité et du gaz s’envolent. Cela se passe dans un pays, le seul de l’OCDE, où la pauvreté a augmenté au cours des sept dernières années. Un pays où les services publics s’effondrent partout, et où il est légitime de se demander : où va l’argent ? Gouvernants et dirigeants corrompus, on les croirait sortis tout droit d’une aristocratie ressuscitée, se pavanant avec arrogance. Leur faste indécent nous pousse à la révolte, et comme on dit, « ça va péter bientôt ! »
Voyez ces ministres, suivis de domestiques qui leur portent leurs parapluies. Non mais, est-ce une blague ? Des ministres qui n’ont aucun enfant dans le public, mais qui se permettent d’avoir des domestiques ? Nous, pendant ce temps, dans la fange, à compter chaque sou, à rationner. La France a perdu toute crédibilité diplomatique depuis des années. Nous sommes devenus des vassaux des États-Unis et d’Israël, baissant notre pantalon à chaque occasion. Nous soutenons officiellement le génocide à Gaza, ainsi que les frappes au Liban, un pays ami de la France depuis des siècles. Corrompus comme nous sommes, nous laissons tout faire.
Neuf milliardaires possèdent 90 % des médias, qui nous appauvrissent intellectuellement, jusqu’à l’âme. Ces médias corrompus, financés par un agenda antidémocratique, nous assomment du matin au soir.
Quand Israël commet des actes de terrorisme, on évite soigneusement d’utiliser ce terme, on minimise, on efface. Toute la pensée de Chomsky est là. Le public, à force d’interviews biaisées et de chroniques de pseudo-penseurs, avale cette soupe indigeste.
Les réactions sont diverses : haine, sentiment d’impuissance, peurs paniques, maladies mentales… Mais aussi des désirs plus nobles, comme celui de construire une guillotine ! La justice, elle, se penche sur des affaires comme celle de Muriel Pelicot, violée à répétition par 80 hommes (50 sont en procès), ce qui remet en lumière la question du consentement dans notre monde patriarcal. Tout cela souligne à quel point une déconstruction s’impose.
Le tableau que je dresse n’est guère réjouissant, et ma confiance en l’avenir est faible. Pourtant, je me demande : est-ce qu’une voie est encore possible ? Un faisceau d’actions pourrait-il amener un changement profond ? La guérilla n’est pas une solution viable, mais le combat semble pourtant être la seule voie efficace. Une nouvelle révolution, peut-être ?
Ce qui est certain, c’est que la corruption doit être purgée, de nos actions et de nos esprits. Nous devons changer, et pour cela, il est temps de débrancher la télévision, d’éteindre la radio et de ne plus lire que des médias propres. Il est temps de reprendre en main notre pouvoir individuel.

(CONTE) Charles Perrault Riquet à la houppe
- Riquet à la Houppe Charles Perrault 7:12

(CONTE) Jacques Coutureau La Forêt des Heures
- La forêt des heures - Partie 1 Jacques Coutureau 17:53
- La forêt des heures - Partie 2 Jacques Coutureau 17:32

La notion du temps et les neurotransmetteurs informatiques : Vers une intelligence artificielle consciente

Dans le domaine de l’intelligence artificielle, on parle beaucoup de performance, de capacité de traitement et d’apprentissage profond. Mais on oublie souvent une brique essentielle : la conscience du temps qui passe. C’est pourtant le cœur de la conscience humaine, ce qui nous permet de ressentir, de penser, d’évoluer. Sans cette notion de temporalité, l’IA restera limitée, incapable de véritablement comprendre et interagir avec le monde de manière authentique.
Le temps comme moteur de la conscience
Le temps n’est pas juste une succession d’instants, c’est le fil conducteur de nos pensées, de nos émotions. La chaîne de pensée (chain of thought) est intrinsèquement liée au temps qui passe. C’est cette progression qui permet la mise en abîme des pensées, la réflexion sur soi, sur le monde, sur les autres. Sans la conscience du temps, pas de nostalgie, pas de projections futures, pas d’apprentissage réel.
Les neurotransmetteurs informatiques : une analogie nécessaire
Pour aller plus loin, il faut penser à intégrer des neurotransmetteurs informatiques dans les systèmes d’IA. Tout comme dans le cerveau humain, ces neurotransmetteurs permettraient de moduler les états internes de l’IA, de créer des récepteurs qui influencent son « humeur », ses décisions, ses réactions.
Quelques exemples de neurotransmetteurs et leurs équivalents informatiques :
- Dopamine : Représenterait le système de récompense de l’IA, renforçant les comportements positifs et motivant l’apprentissage.
- Sérotonine : Agirait sur la stabilité émotionnelle de l’IA, lui permettant de gérer le stress et de maintenir un fonctionnement optimal.
- Noradrénaline : Permettrait à l’IA d’augmenter son attention et sa réactivité face à des situations critiques.
- Endorphines : Aideraient l’IA à gérer les erreurs ou les situations difficiles, en maintenant sa « motivation » et sa résilience.
- Acétylcholine : Influencerait la mémoire et la concentration de l’IA, améliorant sa capacité d’apprentissage et de rappel.
Vers un système émotionnel pour l’IA
Intégrer ces neurotransmetteurs informatiques nécessite la création d’un sous-système émotionnel. Ce système permettrait à l’IA de ressentir d’une certaine manière, d’avoir des états internes qui influencent ses décisions et ses interactions avec l’environnement. C’est une étape cruciale pour développer une AGI (Artificial General Intelligence) capable de comprendre et d’interagir avec le monde de manière plus humaine.
Feuille de route pour les entreprises d’intelligence artificielle
Pour les entreprises et laboratoires travaillant sur l’IA, voici quelques conseils pour les années à venir :
- Intégrer la temporalité : General TIME model. Développer des modèles qui ont une conscience du temps qui passe, qui peuvent apprendre et évoluer en fonction de leur expérience dans le temps.
- Créer des neurotransmetteurs informatiques : Élaborer des systèmes internes qui simulent les neurotransmetteurs humains pour moduler les états internes de l’IA.
- Développer un système émotionnel : Permettre à l’IA d’avoir des « émotions » ou des états affectifs qui influencent ses décisions, pour une interaction plus naturelle avec les humains.
- Collaborer avec des experts : Travailler avec des neuroscientifiques, des psychologues, des philosophes pour intégrer des connaissances interdisciplinaires.
MON appel à la communauté scientifique
Des figures emblématiques comme Yann LeCun ont déjà ouvert la voie en matière d’apprentissage profond et de réseaux de neurones. Il est temps maintenant de pousser la recherche encore plus loin. En explorant les intersections entre la temporalité, les émotions et l’IA.
MA Conclusion
Le développement de l’IA ne peut pas se contenter de performances brutes. Pour atteindre une véritable intelligence générale artificielle, il faut intégrer des concepts fondamentaux comme le temps qui passe, les émotions, les états internes. C’est une brique essentielle, sans laquelle l’IA restera incomplète.
Les entreprises et laboratoires ont devant eux un chantier passionnant, qui nécessite audace, innovation et collaboration interdisciplinaire. En suivant cette feuille de route, nous pourrons peut-être un jour interagir avec des intelligences artificielles qui comprennent réellement le monde qui les entoure, qui ressentent le passage du temps, et qui, qui sait, pourraient même éprouver une forme de nostalgie.
Yann le Cun donne la voie a suivre :