L’année qui commence s’annonce sous le signe de la confrontation. Macron et son appareil gouvernemental continuent leur marche funeste, imposant leurs politiques antisociales, répressives et autoritaires. Mais qu’ils ne s’y trompent pas : nous sommes là, et nous resterons debout, prêts à combattre chaque tentative de domination, chaque loi liberticide, chaque oppression.
L’heure n’est plus aux lamentations, mais à l’action. Face à la violence d’État, face à la destruction de nos droits et de nos libertés, nous devons opposer une résistance totale. Ils veulent nous réduire au silence à coups de matraques, de lois scélérates et de discours fallacieux relayés par leurs médias serviles ? Nous serons le cri insoumis qui traverse les rues et les places, la voix qui ne ploie pas sous la menace.
Mais la répression ne s’arrête pas aux manifestations. Depuis des décennies, l’État mène une guerre contre sa propre population sous couvert de lutte contre le narcotrafic. La loi de 1970, véritable machine à broyer les libertés individuelles, n’a servi qu’à remplir les prisons et à justifier des politiques toujours plus répressives. Pendant ce temps, les véritables cartels prospèrent, et la prohibition alimente un marché parallèle incontrôlable, synonyme de violence et de corruption.
La lutte contre le trafic de drogue est un échec cuisant, et il est temps de le reconnaître. La prohibition ne fait qu’engraisser les mafias et renforcer l’État policier. Nous devons exiger la fin de ces politiques absurdes, la légalisation et la régulation des substances, ainsi qu’une véritable politique de santé publique, loin des dogmes sécuritaires.
L’insurrection n’est pas un vain mot, c’est une nécessité historique face à la dérive autoritaire. Chaque action compte, chaque refus d’obéissance est une pierre posée sur le chemin de la révolte. Il n’y a pas de méthode unique : de la guérilla urbaine aux blocages, des manifestations aux grèves sauvages, tout doit être envisagé. Chaque bastion du pouvoir doit être mis à mal par notre engagement.
Nous ne voulons pas de leur monde. Nous ne voulons pas d’une société qui écrase les faibles et protège les puissants. Nous sommes le peuple en colère, la masse insoumise, la conscience éveillée qui refuse de s’agenouiller. 2025 sera l’année de la révolte, et nous y prendrons toute notre part.
À ceux qui doutent encore, à ceux qui hésitent, il est temps de choisir. La soumission ou la lutte. Le silence ou le cri. La résignation ou la résistance.
Nous avons fait notre choix.
À bas le macronisme et son système ! Vive la révolte !
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